dimanche 5 décembre 2010

Décembre: Post Office, Charles Bukowski

God damn, j'aime Bukowski.

Henry Chinaski. Le pas encore tellement vieux, et pas encore tout à fait encore défait salop qui vit une petite vie, dans une piaule avec sa vielle (ou sa jeune), ou seul dans un appartement minable, boit un coup, joue pour gagner aux courses de chevaux, et travaille, à toutes les nuits, au bureau de poste, jusqu'à ce que quelque chose en lui n'en peu plus, et qu'il tente sa chance au bonheur.

Bukowski, c'est la simplicité, c'est l'honnêteté d'un homme face à lui même et face au monde misérable dans lequel il vit.

J'aimerais tellement voir un documentaire sur lui... genre, Women, the real life movie. Je veux parler à sa fille, à ses maintes femmes, au début. au milieu, et à la fin de sa vie, vécue pleinement, remplie de bouteilles vides qui auront servi à remplir son vide.

J'aimerais être comme les jeune prodigues(du moins dans ses livres, qui semblent bien ressembler à sa vie) qui se tenaient autour de lui, l'idôlatrait, les jeunes qu'il prenaient pour leur compagnie, et puis qu'il écartait avec une crise de jalousie, comme une des ses conquêtes qu'il ne rappellerait jamais, juste pour l'avoir connu. J'aimerais tellement jsute savoir: Était-il comme dans ses livres? Était -il charmant à ses heures, drôle? Sans doute.

Bukowski, par ses romans, est devenu comme un vieux copain, et ce livre, son premier, me ramène réellement à la source. Génial. Je prévois continuer à lire ses romans en ordre, et à imbiber sa poésie jusqu'en être ivre.

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