mardi 18 septembre 2012

Scott Pilgrim Against the World

Oui. Juste oui.

C'étais bon.

J'ai adoré le film, j'ai encore plus aimé la BD. Pour ceux qui ont vu le film, la fin est un peu différente, j'ai mieux aimé.

Intelligent, drôle, petite lecture rapide et divertissante.

Oui. Lisez-le. C'est tout ce que j'ai à dire la dessus ;)


Septembre: Quand les guêpes se taisent, Stéphanie Pelletier

Première publication d'une jeune auteur québecoises, ce livre de nouvelles est une juxtaposition d'urbain et rural, d'amour et de sexe, de vie et de mort.

C'est le genre de livre qui est apparu par magie au bon moment, tellement synchronisé par moment avec ma pensée que je jure qu'elle m'a volé les mots de la bouche! Non vraiement, j'allait un jour écrire une phrase presque identique à celle qu'elle allait écrire. Elle a dit morve, j'aurais dit crotte de nez. Merde.

Quelques nouvelles j'ai trouvé un  peu courtes, comme si il manquait encore un petit quelque chose, mais quand les histoires étaient courtes, elle compensaient par leur intensité d'émotion. Sur ce plan, ça me rémémore Miranda July, mais en plus normal...

Les histoires étaient bien construite, et on y pense encore une fosi le livre déposé. Parfois n s'identifie aux personnages, se place dans leurs souliers, d'autres fois, on les reconnait, nos vieux amis, notre ancienne peau, notre soi futur, se mélangent à la réalité.

Bref, ce livre m'a transporté et fait réfléchir, m'a donné envie d'écrire. Un des livres que j'ai le plus apprécié depuis longtemps...


mercredi 29 août 2012

Août: Pyongyang, Guy Delisles

Un roman graphique sur la Corée du Nord telle que vue à travers  les yeux du dessinateur québecois (qui habite maintenant en France). 

Un regard bref mais intéressant sur un régime communiste totalitaire qui porte à la reflexion, et qui donne soif   d'en apprendre plus sur la réalité quotidienne de ce peuple. 

Comme l'auteur, j'aimerais bien savoir comment il est possible pour cerains d'entres eux de croire dans une propagande parfois aussi peu crédibles. Pour nous ça peu sembler invraisemblable, mais pour quelqu'un qui  vit dedans un tel régime... Régime sous lequel règne la famine et la pauvreté... C'est déroutant tout simplement. 

Comme une vacance à Cuba, on s'amuse bien avec ce livre bien dessiné et humoristique, mais on  souhaite avoir une meilleur compréhension des folies de l'homme, et comment un tyrant peu mettre en place un système qui peut permettre à tant de gens de souffrir. 

Juin et Juillet: Trilogie de Katerine Pancol

Un été chaud avec un bébé colleux et collant, ça ne se passe pas devant l'ordi, mais, ça donne plein de temps pour lire. Quel meilleur moment pour lire une trilogie? Trois belles grosses briques de 1000 pages... 

Le premier livre, Les yeux jaunes des crocodiles était leger mais intéressant. Les personnages sont attachants, les coups sont faciles à prévoir, mais heureusement, il a plusieurssous histoires pour nous garder intéressés. 

Malheureusement, les 2 autres livres ( La lente valse des tortues, et Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi) étaient 2000 pages et quelques semaines de perdues à mon avis... On sait trop bien ce qui va arriver, c'est trop long pour le peu d'action... Les personnages cessent de se développer, deviennent redondants, voir irritants... 

Point de redemption: L'histoire se passe en trois lieux intéressants dont l'auteur nous expose le quotidien. Paris, Londres, et New York. C'est quétaine, mais entendre parler du Monoprix et de Orange, ça rappelle des souvenirs... Parler des rues, des batiments, ça me fais voyager un peu... ( Bon je n'ai pas vu Londres, mais... Prochaine lecture devrait se passer à Barcelone. Je suis due pour un voyage!) 

Donc voila! Un été en lecture un peu bousillé.... J'ai aussi trouvé un peu de temps pour lire un livre sur le language des signes pour les bébés... Beaucoup plus intéressant!

jeudi 3 mai 2012

Frye Jam!

Bon un peu en retard, le festival Frye est fini, but better late than never. 

D'abord à l'honneur du Frye, ce billet sera billingue. I mean, why not? Everything else que je fais est bilingue....

Since I haven't been reading much other than baby books, (j'ai essayé d'entamer La muraille de Chine, une collection d'histoires courtes de Kafka, mais j'ai découvert que j'ai developpé la capacité de ne pas lire un livre qui ne me captive pas dès le premier chapitre. Ah ben) and since I only go out about once a month, as my son has gone on a sleeping strike, I decided to  take my litterary appetite on the road, and kill two birds with one stone. Ok, I was actually going more to see Buck 65,  but I must confess I was pleasantly suprised by everyone who performed that night. Je ne savais pas trop a quoi m'attendre, j'savais même pas qu'il allait y avoir des auteurs... J'savais même pas que c'étais à l'Empress, (j'adore toujours les party's dans des endroits peinturés entièrement en noir... Comme au Aberdeen etc. C'est cozy, pis ça feel underground....)  Maybe it was the two very carefully timed beers talking - amazing how pregnancy and breastfeeding turn you into a light weight - but from the moment I sat down, I was immersed with a nice warm happy feeling. Ce sentiment unique comme quand une phrase délicieuse et éphémère surgit dans ton cerveau et qu'il faut l'écrire immédiatement, comme quand tu ferme les yeux et que tu te laisse bercer dans l'immensité du moment présent. Ok, enough with the cheesy clichés. That's why I still leave the writing up to the professionals. Sigh. 

Donc je vais me permettre de continuer ma rêverie et étirer le plaisir de cette soirée en me la rémémorant, soit en présentant un petit mot sur chacun des créateurs présents: 

Les Païens: Merci au groupe légendaire de Moncton d'avoir assuré la trame sonore pour la soirée. Même si je vous connais depuis bien longtemps, j'ai été épatée. Vous avez su créer un univers riche en textures sonores. C'étais délicieux, d'entendre chaque instrument apporter sa contribution, et puis fermer les yeux, et de laisser le tout se morfondre dans une cacophonie synchronisée. 

France Daigle: Merci pour un bref regard dans un univers charmant. La dialogue parent-enfant sur des sujets d'importance à l'hummanité, c'est rafraichissant, et j'espère que ça se passe dans le vrai monde. 

Terry Falls: Thank you for bringing me on an imaginary trip to Ottawa (where I have a dear friend who is, incidentally, working for the opposition) and, also, most importantly for making me giggle with you punny word play. 

Julie Aubé: Merci de me rappeller de la beauté de l'innoncence, et d'avoir partagé avec nous ta voix charmante. Contente de te découvrir à l'extérieur des Hay Babies ( LOVE THE HAY BABIES!!!! OUIIIIIIIII!!!!) 

David Gilmour: Thank you for saying something perfect. Thank you for the reminder that when we are young, we often think our chance at success comes around just once, but that happiness just lies around the corner. 

Owen Steel: Thank you for your song about rooster pie. It reminded me of why I wanted to move out into the country so my own son can have memories of his mother, cooking up a fresh 'paté de coq' (which was hilarious, because des coques in acadian, is a kind of quahog or clam, and my grandmother  makes a mean paté aux coques. She also gardens in short shorts and tank tops so she doesn't get tan lines for the Sunday service, but that is a whole other story... Coquine.). In the mean time, I'll hold out for urban chickens... 

Sue Goyette: Thank you for your rythmic poetry that flowed smoothly into the night. 

Phillippe Garon: Merci pour ton énergie, pour ta façon de voir le monde, mais surtout de nous l'écrire. J'adore ton style, c'est juste parfait. 

Buck 65: Thank you for coming to Moncton, but mostly, thank you for making music, and being on the radio, and hopefully, writing that novel, so I can enjoy a good book and shake my head in disbelief at how much talent you have. I mean shit. I think it's your personality that transcends into everything that you do or something, you have a distinct style, and that is rare and refreshing.Well I don't know if having a distinct style in itself is rare and refreshing, but your style certainly is.  I think you're probably the kind of person I would like to know in real life. I can't be certain of course, but you strike me as a genuine fellow. I enjoyed the show. Nuff said. 

Colleen Brown: Thank you for getting that little ditty stuck in my head. Seriously. (My version goes something like ABC, 123, We live in a democracy... ) Awesome! With a haunting voice and a retro vibe, there is definitely something mysterious about you. Belle découverte!

Donc voila. There was my attempt at sharing, in all sincerity how much fun I had, and because it isn't every day that people tell other people how much they are appreciated, what you each brought to me with the work that you do in the brief but brilliant moment in which you shared your craft with us at the Frye Festival. 

Merci aux organisateurs, soirée bien réussie! 



lundi 2 avril 2012

Février/Mars: La mort dans l'ame, tome trois des Chemins de la liberté de Jean-Paul Sartre

Bon, pause de lecture d'adultes I guess... Oopsy daisy!

Donc voilà, j'ai décidé de finir la trilogie pendant que le 2e roman de la série était encore frais dans mon esprit.

On commence sur une note allchante. Un révolutionnaire et ancien peintre espagnol à la flegme à NY, pendant que Paris se fait envahir par les nazis. On retrouve sa femme et son fils en train de fuir la ville des lumières... Bref, on voit comment les multiples personnages vivent le début officiel de la 2e guerre mondiale.

Bon, le livre était bon, portait évidemment à la reflexion (merci Sartre). J'ai donc pas beaucoup à dire sur le contenu du livre, mais plutôt sur les reflexions que j'ai eu. Je me suis demandé comment le commun des mortels percevait Hitler durant la guerre, comment il était une fois, le roman de Sartre était d'actualité, et je me suis demandé: comment est-ce que, quand l'histoire aura jeté son regard cruel sur les crimes qui affligent notre génération, est-ce que nous verrons quand nous avons été dupes? Ou, est-ce qu'on justifiera nos positions , voir nos actions, par l'ignorance, minimiseront les fois que nous avons sympathisé avec l'ennemi?

Encore un livre qui me fait réaliser à quel point j'ignore tellement de choses à la fois sur l'histoire et ses complots, et sur les conflits actuels qui se passent partout dans le monde... Bon, reste à voir si et comment je vais rectifier cette situation, je connais les limites du temps dont je dispose et ma propensité vers la paresse... Pas pour dire que je ne garde pas mon esprit critique, mais bon... Ça reste une reflexion intéressante...

lundi 30 janvier 2012

This is just exactly like you, Drew Perry

Hmmm... Petite lecture du "discount bin" au Chapters... j'avoue avoir été interpellée par la couverture...

Une espèce de photo "out of focus" d'une grosse mascote de marmotte sur un mini-putt... Si j'aurais regardé la photo de l'auteur à l'arrière du livre, lu sa bio... Pas pour être superficielle mais c'est une étrange photo à choisir... Mettons qu'après avoir lu le livre, j'ai vu un homme qui porte une casquette, habite en Caroline du Nord, et est professeur d'écriture dans un université pas très connue...Ressemblance à son personnage...Aha.



En plus que je ne suis pas fan de retrouver l'auteur en plein dans le livre... Surtout que j'ai pas énormément apprécié son personnage principal dans son ensemble... au début oui, mais plus ça avance, plus son inhabileté à prendre une décision et prendre le contrôle de sa vie m'a tappé sur les nerfs.

Le sujet? L'histoire d'un homme qui perds un peu le controle de sa vie quad sa femme le quitte et se retrouve avec son meilleur ami, et comment il vivent ca avec leur garçon autiste.

Début un peu plate, un peu cliché, suivi par trop d'événements majeurs, trop d'action... Quoique le style de l'auteur n'était pas mon préféré (des phrases courtes, une voix masculine et prolétarienne, une narration ne représentant qu'un point de vue qui semble manquer de perspective), l'histoire m'a diverti avec ses détours improbables...

Si je vais relire l'auteur: non, je ne crois pas, du moins je ne fouillerai pas pour, et encore, ça c'est si il publie un autre livre.... Pas le pire livre, certaines parties m,ont fait reflechir, mais pas le meilleur... Voila.


vendredi 13 janvier 2012

The brief and wondorous life of Oscar Wao, Junot Diaz

Comme un Gabriel Garcias Marquez de l'urbanité contemporaine, Junot Diaz nous fais prendre un voyage dans l'histoire empreinte de fantaisie d'Oscar de Léons, un Dominicain 'mas gordo' et de sa famille.

Avec des notes en bas de page sur l'histoire de la République Dominicaine de l'ère Trjuillo, multiples narrateurs et des bribes écrits en espagnol ou en slang, on s'immerse profondément dans l'univers d'Oscar, un 'nerd' qui tombe facilement en amour, mais n'a aucue chance avec la gente féminine, chose qui dans sa culture macho, n'est franchement pas acceptable. On apprends à connaitre sa soeur, sa mère, sa grand-mère, à la fois au États-Unis, ou la famille s'est déplacé (La diaspora) et en République Dominicaine, ou la Inca, grand-mère adoptive, est demeurée, mais surtout, on apprends à propos du Fuku, la malédiction ancienne qui est tombée sur sa famille.

Heureusement, je comprends un peu d'espagnol, et j'ai pu inférer le reste au besoin... Les notes de bas de page étaient un peu mal foutue en terme de mise en page, masi a part ca, pas de plaintes!

Une histoire bien écrite et aguichante, je compte bien relire l'auteur.

mardi 10 janvier 2012

Janvier :Jailbird, Kurt Vonnegut

Je pensais que j'avais ramassé Slaugtherhouse Five, mais bon.. Vonnegut is Vonnegut... Petite lecture bien rapide, je l'ai lu en a peu près 36 heures par petites bribes...

C'est le 2e livre de Vonnegut que je lis, (le premier étant Mother Night, lire billet ici) et à date le style semble se suivre. Le récit est raconté à la première personne par le personnage principal, un dénommé Walter F. Starbuck.

On retrouve Starbuck alors qu'il s'apprête à sortir de prison, pour son implication inopportune dans Watergate. On apprends ainsi toute son histoire ironique. Son lien avec un riche héritier, son éducation à Harvard, les quatres femmes qu'il a aimé, et l'aventure improbable qui l'attends au cours de ses premiers 24 heures en sortant de prison. On aborde les themes travaillistes, du communisme et du capitalisme

C'est une histoire facile à lire, bien écrite, empreinte d'ironie. J'ai aimé les références à toute sorte de petits faits historiques ; les femmes qui avaient peinturé les horloges, les gitans qui avaient été décimés par les nazis durant la 2e guerre mondiale (j'ai appris ça récemment, voir billet ici.), et de Sacco et Vanzetti, des anarchistes d'origine Italienne condamnés à mort, potentiellement à tord, et dont j'ai appris l'existence par le biais de ce livre (des fois, on peut apprendre des choses même en lisant de la fiction! Suffit de faire un peu de recherche par la suite, et prendre les choses avec un grain de sel.)

J'ai adoré la corporation RAMJAC, qu'on soupçonnait controlais tout, mais en réalité, ne detenais qu'une part infestimale du marché... Dire que la polémique sur les monopoles n'as pas beaucoup évolué depuis les années 70's... Sauf peut-être être devenu plus accepté dans le 'mainstream'... Hate de voir ce que les gens diront des conspiracy theory d'aujourd'hui dans 40 ans...

Suivre les reflections du personnage sur sa jeunesse m'a bien fait réfléchir sur l'ignorance qui accompagne souvent la jeunesse... Du moins la mienne! Surout en juxtaposition avec ma dernière lecture, Persepolis, où la petite Marjane citait Marx à 12 ans, et lisait les grands philsophes à 15...

Somme tout une belle lecture, qui se lit bien, tout en portant à la reflection. Bravo!

Up next, The wonderous life of Oscar Wao, par Junot Diaz.



mardi 3 janvier 2012

Un dernier livre pour 2011: Persepolis, Marjane Satrapi

Livre repêché au Folio books :)

The complete Persepolis de Marjane Satrapi, c'est une bande dessinée racontant la vie de l'auteur en tant que jeune iranienne révolutionnaire grandissant en Iran en temps de guerre et de repression religieuse.

J'ai commencé le livre en même temps que mes contractions commencaient... Hahaha. J'ai peut-être lu une ou deux BD, pour réaliser assez rapidement que finalement, faudrait remettre la lecture à plus tard....

Finalement, c'étais captivant, et le format BD s'avère assez facile à lire à petite dose : en bercant le plus beau garçon du monde qui veux se faire coller à 3h du matin par exemple...


J'ai pleuré quand je lisait qu'un être cher se faisait assasiné, ou comment ils ne tuaient pas les vierges: Il les 'mariaient' à leur exécuteur, qui les violaient avant de les tuer. Ils envoyais un dot de l'équivalent de 5.00$ à la famille de la victime pour qu'il comprennent bien le sort subi par leur fille.

Je me suis réjouie quand l'héroine vit en Europe, quand enfin elle se fait des amis, tombe en amour, profite de la vie, renoue avec ses parents, retourne en Iran et redécouvre la vie...

Ce livre m'a un peu ouvert les yeux, m'a donné envie de mieux m'informer sur ce qui se passe dans le monde, et m'a à la fois causé une grande tristesse, et un grand espoir qu'il existe, même dans le plus sombre des histoires, le potentiel de se soulever de son sort à travers de gens qui sont prêts à se battre pour leur idéaux, même par des petits gestes de subversion. (Et ce malgré l'auteur qui fini par quitter l'Iran pour ne plus jamais y retourner pour vivre)

Ce qui m'a un peu décu, c'est la fin. Il n'y a pas vraiment de conclusion... Pas de morale, pas d'indice qui nous dit que tout sera correcte ou pas... Mais bon... C'est ça que c'est la réalité...

Maintenant, j'aimerais bien voir la version film...


Next up: Slaughter house 5 de Kurt Vonnegut. C'est pas très long, je pense pouvoir lire ça peu a peu entre deux boires au cours du mois...

Bonne année, et bilan de lecture 2011

Bon, après avoir blagué avec une amie sur Facebook que le bébé attendais que je finisse Sartre pour sortir... C'étais en effet le cas! Mon travail a commencé a 22:30, et a 7h22 le lendemain matin, j'étais maman! Si la nausée me semblait un titre a propos pour la grossesse, Le Sursis me semble un titre a propos pour la pause entre mon ancienne vie et ma nouvelle.

Bébé Zoël est donc né sur le solstice d'hiver, la date que je disais que j'aimerais bien accoucher. Et en effet, depuis sa naissance, le soleil brille un peu plus fort, et un peu plus longtemps à tout les jours.

Pour ce qui est de mon bilan de lecture: j'ai réussi a battre mon chiffre de l'année dernière... 26 lectures de romans ( comme l'an dernier) si je compte les livres sur lesquels je n'ai pas bloggué, sois J-Pod de Douglas Copland, St-Carmen de la Main, de Michel Tremblay, et un livre de poésie par Raîche (je me souviens plus du nom, je l'ai mentionné dans un billet) et Persepolis, dont je vais parler dans le prochain billet...

Et si on compte les livres de grossesse ( Taking Charge of your fertility, Your pregnancy day by day, Happiest Baby on the Block, Belly Laughs de Jenny McCarthy, et mon préféré, le hilarant Let's panic about babies... ah et Be prepared,a Dad's guide to babies ou qque chose de même qui était à la fois informatif et cocasse) Ca nous amène à.... drumroll please: 32 livres... Ça va être dur à battre!


Donc voilà, je vous souhaite une bonnée année, remplie de joie et de bonheur, de santé et de prospérité, du temps passé entre amis et être chers, et des moments pour soi à dévorer des lectures captivantes.

Natalie