samedi 12 juin 2010

Juin: No one belongs here more than you, Miranda July

Un autre livre fantastique. Vrai découverte.

Au centre
Des histoires courtes qui te laissent perplexe.





















(My house is this colour yellow.)


L'auteure, aussi vidéaste et photgraphe, nous apporte sur des chemins inexplorés de la psychologie humaine. La simplicité détachée des pensées des personnages, leur acceptation du desespoir et de leur sexualité en marge, le tout laisse le lecteur curieux de connaître le prochain personnage.


La psychologie des personnages se soutient dans ce format succint, quoique ces personnages ne survivrait peut-être pas un roman entier. Mais voila leur charme. Ils dérangent, mais on les comprends. Plus longtemps, et on serait mal à l'aise. C'est un peu comme être assi dans un autobus, et pouvoir lire dans les pensées des gens qui y sont assis. Des fois, on en voit plus que ce qu'on voulais, mais il y a toujours un arrêt à proximité.


Mais je ne peux le dire mieux que le New York Times: " Miranda July is graced with an unabashed love for the basic hummnity of her carachters." C'est surtout ce qui m'a impressioné, sa capacité de voir dedans les gens, de nous montrer que dans le fond, on a tous des lubies, et qu'on a tous des idées folles dans un coin secret de notre univers. It all seems so simple.

Ou encore le Village Voice: " Whimsical, extraordinary tales. At the core of each strange, often comic tale, lies the basic human need for love and understanding."

(She reminds me

of Fiona Apple.)

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