samedi 12 février 2011

Février: Everthing is Illuminated, Jonathan Safran Foër


Je n'ai pas encore fini de le lire, mais... Trop génial! Je crois vraiment et sincèrement que ce roman est celui dont l'auteur avait besoin d'écrire. C'est un accouchement. Il a porté ce livre la une jeune vie durant je croit, et je suis heureuse d'être présente pour voir vivre ce roman.


J'ai regardé le film l'autre jour, et puis j'ai eu envie de lire le livre en même temps.

J'ai débuté avec les chapitres du narrateur ukrainien. Quelle joie. Je retrouvais toute les mêmes farces que dans le film, voir le même script verbatim par moments.

Je trouvais ensuite un autre narrateur, un point moins illustré dans le film, l'histoire du village où es né l'arrière-arrière-arrière (arrière?) grand-mère de notre héro, Trachimbrod.

Franchement, les premiers chapitres durant, j'ai eu de la difficulté a rentrer dedans le livre a cause de ces chapitres là... Mais l'autre jour, j'en ai lu un qui m'a ému. De un, c'est sa façon de parler des émotions comme différentes a chaque fois qu'on les ressens: la tristesse face à mort ou celle qu'on ressent quand notre déjeuner tombe par terre ( ok les exemples de l'auteur sont meilleurs) ... De deux, il peint un image si jolie, tout en expliquant que c'étais bien lui, le héro qui faisait cette narration. Il décrivait que quand les humains copulent, ça produit une faible lumière, et que cette lumière la est visible de l'espace des centaines d'années plus tard. Bien sur, cette lueur, cette énérgie ne serait visible que quand plein d'humains copulent, par exemple à Dublin lors de la St-Patrick, ou New York à la St-Valentin, ou encore, la soirée du festival à Trachimbrod. C'est ainsi explique l'auteur, que sa grand-mère et sa mère, regardant l'atterrissage sur la lune, purent voir, des centaines d'année plus tard, la lueur de Trachimbrod à l'écran.

Non mais c'est tu pas beau? Ça m'a rappelé un peu du film Short Bus, qui a utilisé cette image de l'électricité pour ilustrer l'orgasme, et comme le trailer démontre ça se passe à New York... Entouka, j'ai trouvé ça beau comme passage.

Je n'ai pas encore fini, mais si le sommeil ne me rattrape pas à l'aéroport, et que l'excitation ne m'empêche pas de lire, je pourrait bien le finir aujourd'hui...


Lire un autre blog post sur le même auteur.

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